L'influenceur en question, Amir DZ, a été expulsé de France le 20 juillet pour "atteinte à l'ordre public". Les autorités françaises l'accusent d'avoir tenu des propos "intolérants" et "incitant à la haine" sur les réseaux sociaux. Alger a nié ces accusations, affirmant qu'Amir DZ était un "blogueur pacifique" qui n'avait fait que "critiquer le régime algérien".
Les propos de Bruno Retailleau ont été largement condamnés en Algérie. Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a qualifié ses paroles de "provocations irresponsables" et a déclaré qu'elles "portent gravement atteinte" aux relations entre les deux pays. La presse algérienne a également vivement critiqué les propos du sénateur français, les qualifiant de "provocation" et d'"ingérence".
En France, les propos de Retailleau ont suscité des réactions mitigées. Certains soutiennent sa position, arguant qu'Amir DZ a dépassé les limites de la liberté d'expression. D'autres estiment que ses propos étaient trop durs et qu'ils risquent d'aggraver les tensions entre les deux pays.
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